Auteur: Guillois François-Xavier (tnntwist@club-internet.fr)
Date: Wed Nov 24 1999 - 20:33:13 CET
> D'ailleurs je suis pleinement reconnaissant à Zel de s'être libéré de la
> contrainte: "J'ai écrit ça dans le premier, je dois m'y tenir !"... C'est
> d'ailleurs ça qui participe à faire du cycle mon livre préféré...
Pourquoi es-tu sur la ML dans ce cas ? ;)
Je pense qu'il y a une majorité qui sont pour attribuer plus l'esprit d'Ambre au
premier cycle qu'au second. Moi je privilégie le premier, parce que c'est celui
qui a été écrit pour être décliné sous neuf versions différentes, selon la
légende. Je pense par conséquent qu'il respecte parfaitement ce que Zelazny
imaginait sur Ambre au départ, avant d'imaginer une saga à rebondissements (une
oeuvre inhabituelle chez Zelazny, pour les connaisseurs).
> Je pense donc que les deux premiers livres sont ceux que l'on doit le moins
> prendre pour argent comptant...
et moins je prends le parti de les remettre au goût du jour... :)
> Eric est né de Faiella comme lui et qualifie Eric de "fils de pute, au
> propre comme au figuré"... ce qui me fait dire que Obéron est tombé amoureux
> d'une pute, au sens propre, en a eu un fils: Eric, PUIS a dissous son
> mariage avec Cymnéa et a eu un deuxième enfant avec Faiella, mais celle-ci
> étant son épouse désormais elle n'était plus une pute...Ce deuxième enfant,
> c'est Corwin qui lui n'est donc pas un fils de pute (eh eh eh)
Tu joues à ADD&D ? sens propre ne veut pas forcément dire sens premier. quand
Corwin et Eric se disent Crazy Brother dans la galerie des miroirs, on n'est pas
obligé de croire que les deux personnages sont fous comme Dworkin.
Cela dit, qu'une femme d'Obéron soit une prostituée, c'est parfaitement
possible, car les quartiers du port inspirent beaucoup certains membres de la
famille... :) Dans une de mes campagnes, Obéron était tombée tombée amoureuse
d'une prostituée au physique bien en chair et peu gâtée par la nature, mais qui
avait un coeur d'or. Cette femme s'appelait Harla. Evidemment, son histoire de
mac est à l'origine de tous les déboires qui amenèrent les fils de Rilga et de
Dybele à la détester, elle et ses deux rejetons (Delwin et Sand, pour ceux qui
ne suivent plus).
J'ai eu des femmes d'Obéron galériennes aussi. Quand on voit l'histoire de Dalt,
on peut s'imaginer qu'Obéron a pu baiser n'importe quoi, et l'homme n'était pas
sans coeur, et il avait le pouvoir de tout faire accepter. Dans ces conditions,
on peut aller très loin...
> "Qu'une de tes mains se contente de souhaiter, que l'autre agisse. Si tu les
> presses l'une contre tu verras ce qui se passera." Corwin à Bleys, dans "Les
> 9 Princes d'Ambre"
tu as la page ?
FX.
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