Auteur: Bleys Barimen (bleys_barimen@hotmail.com)
Date: Wed Nov 24 1999 - 17:43:59 CET
> > Il était prêt, de toute évidence, àpayer le prix de sa faute, véritable
> > prince d'Ambre - comme l'avait fait avant lui nos trois frères morts, je
> > me suis brusquement souvenu." 1/95
> > Mais de qui parle Corwin ?
> >
>Osric et Finddo, qui ont payés de leur vie leur faute contre la maison de
>Kara...
>
>Quand au troisieme, toutes les hypotheses ssont ouvertes. Delwin ? il est
>vivant, mais on ne le mentionne jamais, peut être le croit on mort...
Salut,
Bon moi je pense que l'on peut dire raisonnablement que les 9PA, est le
livre de la série où l'on trouve le plus d'incohérences... EXEMPLE: Corwin
dit que Random a la même mère que lui, alors que Random est né d'une
certaine Paulette, et Corwin d'une certaine Faiella...(voir plus bas).
Le nombre de frères et de soeurs morts est lui traité deux fois, je crois,
dans 9PA, les deux fois de façons différentes...
D'ailleurs je suis pleinement reconnaissant à Zel de s'être libéré de la
contrainte: "J'ai écrit ça dans le premier, je dois m'y tenir !"... C'est
d'ailleurs ça qui participe à faire du cycle mon livre préféré...
Je pense donc que les deux premiers livres sont ceux que l'on doit le moins
prendre pour argent comptant...
Si vous me le permettez, j'ai d'ailleurs une ou deux choses à dire à propos
de Faiella: mis à part le fait que son nom et le nom de l'escalier
Faiella-Bionin soient très différents (eh eh eh), dans lFdA, Corwin dit que
Eric est né de Faiella comme lui et qualifie Eric de "fils de pute, au
propre comme au figuré"... ce qui me fait dire que Obéron est tombé amoureux
d'une pute, au sens propre, en a eu un fils: Eric, PUIS a dissous son
mariage avec Cymnéa et a eu un deuxième enfant avec Faiella, mais celle-ci
étant son épouse désormais elle n'était plus une pute...Ce deuxième enfant,
c'est Corwin qui lui n'est donc pas un fils de pute (eh eh eh)
Je sais c'est capilotracté, mais comment prenez vous ma citation des FdA
autrement ? (pour la retrouver: c'est lorsque Corwin parle avec Bénédict
sous sa tente et lui parle de ses (més)aventures... Je n'ai pas le livre
sous la main...)
Ouf, fini, Bleys, Prince d'Ambre
"Qu'une de tes mains se contente de souhaiter, que l'autre agisse. Si tu les
presses l'une contre tu verras ce qui se passera." Corwin à Bleys, dans "Les
9 Princes d'Ambre"
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