Auteur: Nolendil (nolendil@wanadoo.fr)
Date: Mon Apr 16 2007 - 23:38:44 CEST
> De même, de
> nombreuse fois, les Livres font état de " copies " de Greyswandir.
> Comment une telle chose est possible, alors que Greyswandir, étant un
> aiguiller, est a priori unique ? Un autre exemple est trouvé dans Prince
> du Chaos, lorsque Merlin se rend compte que les deux aiguillers qu'il
> porte se ressemblent tellement qu'il " ne peut les differencier ". Or,
> selon Zelazny lui même dans une interview, chaque aiguiller est
> totalement différent, bien assez pour qu'on puisse les différencier. Le
> paradoxe apparent peut se résoudre si on considére qu'il existe une
> infinité de représentation materiel d'un aiguiller donné, qui en forme
> un et un seul.
Peut-être que cette explication ingénieuse pourrait même s'étendre à d'autres objets que les
aiguilliers, même si leur nature de point focal de multiples liens s'y prête particulièrement.
> Je m'explique. Un aiguiller est une représentation immaterielle, sans
> aucun support physique.
Mmmmmouiiiii....ok, bonne idée ! c'est effectivement très intéressant.
> La force d'un lien peut décliner (ce qui
> explique que Corwin n'a nul peur de laisser un lien vers Greyswandir en
> Ambre)
Mais.....Euh... là je ne te suis pas ?
Nolendil
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