Auteur: Boris Bret (jpbret@dialup.francenet.fr)
Date: Mon Nov 15 1999 - 17:36:12 CET
Ugh!
>Bon, vous avez remarque, aujourd'hui, je me defoule, je prend le temps
>de repondre a ce a quoi j'ai un truc a dire....
Et oui, on finit par y prendre goût, hein? :-)
>> Have you lost your taste to be a Lord of the living void, a king of Chaos?
Je me permets de modifier un peu la suite de ton mail, parce que je
voudrais réagir sur la fin, ce qui pourrait expliquer un peu mieux ma façon
de voir :
>On voit toute l'importance que peut avoir le "a" apres la virgule....
C'est très exactement la différence que je voyais entre la vo et la vf. En
français, ça donne : Dworkin qui s'adresse à un seigneur du Chaos, et qui
lui demande s'il a perdu l'envie, etc...
en Anglais, ce serait plutôt, Dworkin qui demande s'il a perdu le goût
d'être, un maitre du vide animé, c'est à dire un king of Chaos.
Pour moi, (et si j'avais un peu plus écouté étant jeune les cours de
grammaire) le king of chaos est une aposition(?) qui qualifie le groupe
nominale postérieur, à savoir maitre du vide animé.
>C'est marrant, moi, je le lis a l'envers de toi : "As-tu perdu ton envie
>d'etre un seigneur du vide anime (gardons ce bout-la), (et la je rajoute
>: et ensuite) un roi du Chaos ?
.. Ben, je n'arrive pas à me convaincre, ne serait-ce que parce qu'en
rajoutant un petit mot, on lui fait dire n'importe quoi! (Essaye "au lieu
de" et ça me contredit encore plus! :-) )
>Pour moi Roi du Chaos est posterieur a Lord of the living void, une
>consequence naturelle peut-etre.
Tu veux dire que roi du chaos(ou seigneur) ne serait pas seigneur des
cours, comme un Borel ou un Mandor?
Sinon, je ne vois pas ce que tu veux dire par la conséquence naturelle(ni
l'ordre dans lequel tu veux le mettre)
>Dans le sens qu'un Oberon traceur d'une nouvelle marelle aurait formatte
>le chaos a travers sa marelle, et donc l'aurait en quelque sorte
>maitrise... ?
Mmmmhhh, différemment de Dworkin? ouais, me convainc pas tout ça...
> Nolendil enc... de mouche ambrienne a ses heures
Tcho!
Boris
bret@ens.fr
Dieu est la façon la plus simple d'expliquer le monde, mais, comme disaient
les Schadocks : "Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?"
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